Hannibal

Le point de départ de HANNIBAL fut pour moi la situation actuelle sur une ancienne île lépreuse. Le petit village semble être contaminé lui-même à présent par la maladie des habitants d’autrefois, et en périt lentement. Cette île qui de loin semble être un refuge d’espérance, devint pour moi un symbole de décadence et de vulnérabilité. Je fus fasciné par la force immense du rayonnement et de la clarté foudroyante de la situation sur l’île. Ce fut pour moi cette situation de jeu final, et c’est pour cela que je fus poussé à créer mon étrange histoire sur la rencontre avec le pouvoir. X. KOLLER